Histoire des paysans, Volumen 1Sandoz et Fischbacher, 1874 |
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... pay- san . Et pour ne parler que de notre pays , je ne crois pas qu'il existe à cette heure en France un homme qui sache au vrai quelle fut , depuis le temps des Gaulois jusqu'à nos jours , la situation du grand nourricier de la patrie ...
... pay- san . Et pour ne parler que de notre pays , je ne crois pas qu'il existe à cette heure en France un homme qui sache au vrai quelle fut , depuis le temps des Gaulois jusqu'à nos jours , la situation du grand nourricier de la patrie ...
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... pays étaient serfs ; tous les biens de l'Église appartenaient aux évêques , et les biens cultivés par les particuliers ap- partenaient à leurs seigneurs . Les sujets serfs ne possé- daient aucun fonds en propre ; ainsi les seigneurs ...
... pays étaient serfs ; tous les biens de l'Église appartenaient aux évêques , et les biens cultivés par les particuliers ap- partenaient à leurs seigneurs . Les sujets serfs ne possé- daient aucun fonds en propre ; ainsi les seigneurs ...
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... pays . Le premier pas que fit l'esclave fut donc de changer sa condition de serf contre celle de vilain . Il fut dès lors soumis à une infinité de redevances et de services de tout genre , dont nous ajournerons la longue énumération aux ...
... pays . Le premier pas que fit l'esclave fut donc de changer sa condition de serf contre celle de vilain . Il fut dès lors soumis à une infinité de redevances et de services de tout genre , dont nous ajournerons la longue énumération aux ...
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... pays d'hommes et de troupeaux ; plus tard , en 763 , le roi Pepin ramène d'Aquitaine son armée enrichie de butin et d'une multitude d'esclaves ... La cause la plus fréquente de l'asservissement volontaire - faciendi habeas . » Append ...
... pays d'hommes et de troupeaux ; plus tard , en 763 , le roi Pepin ramène d'Aquitaine son armée enrichie de butin et d'une multitude d'esclaves ... La cause la plus fréquente de l'asservissement volontaire - faciendi habeas . » Append ...
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... pays : le père ne pourra marier sa fille à son gré , la veuve restera contrainte de prendre un nouveau mari . « ( 1 ) Le droit du plus fort était la principale source de la servitude . Tous les prisonniers de guerre devenaient autant d ...
... pays : le père ne pourra marier sa fille à son gré , la veuve restera contrainte de prendre un nouveau mari . « ( 1 ) Le droit du plus fort était la principale source de la servitude . Tous les prisonniers de guerre devenaient autant d ...
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Términos y frases comunes
affranchis Anglais Anjou avaient bagaudes bandits barons Berry bourgeois Bourgogne Bretagne c'était campagnes cent chap Charles VII chartes château châtelains chevaliers chose clergé commune comte condition corvées Cout coutume crimes d'Anjou deniers devait Dieu dîme Dom Calmet Dom Lobineau Dom Morice domaines donner ecclésiastiques églises enfants esclaves états généraux eût évêques faisait femmes féodalité fiefs fille Froissart fussent gens d'armes gentilshommes gneurs guerre habitants Hist hommes jacquerie Jacques Bonhomme Jean Jeanne jour justice l'Église l'évêque laboureurs laisser légistes lever liberté Louis Louis IX Louis XI main mainmorte maîtres ment misère mort n'avait n'était nobles noblesse Normandie Ordonnances du Louvre pape passer pauvres payer paysans personne peuple Philippe Philippe le Bel piller plat pays pouvait propriété provinces racheter rançon redevances reste révolte rois royale royaume ruine s'il saint seigneuriaux seigneurs serfs servage servitude seulement sire sols sujets suzerain taille terre tiers état tion tyrannie vassaux vilains villages villes XIIIe siècle
Pasajes populares
Página 119 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user, en tout temps, comme de sages économes, c'esl-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Página 403 - Poton de Saintrailles et La Hire fussent deux des principaux et des plus renommés capitaines du parti des François, toutefois ils furent de ce pillage et de cette esconherie , mais ila combattoient les ennemis du royaume.
Página 53 - De condamner cet état, ce serait entrer dans les sentiments que M. Jurieu lui-même appelle ouirés, c'est-à-dire dans les sentiments de ceux qui trouvent toute guerre injuste; ce serait non-seulement condamner le droit des gens où la servitude est admise, comme il paraît par toutes les lois, mais ce serait condamner le Saint-Esprit qui ordonne aux esclaves, par la bouche de saint Paul, de demeurer en leur état, et n'oblige point leurs maîtres à les affranchir...
Página 94 - Tout homme demeurant dans ladite ville paiera, « chaque année, douze deniers et une mine d'avoine « pour prix de son domicile ; et s'il veut avoir une « portion de terre ou de pré, il donnera par ar« pent quatre deniers de rente.
Página 396 - Mêlions tout en la main du diable ; ne nous chault (peu nous importe) que nous devenions. . . Mieux nous vaudrait servir les Sarrasins que les chrétiens., faisons du pis que nous pourrons ; aussi bien ne nous peut-on que tuer ou que pendre... par le faux gouvernement des traîtres gouverneurs , nous faut renier femmes et enfants, et fuir aux bois comme bêtes égarées, non pas depuis un an ou deux, mais il ya jà quatorze ou quinze ans que cette danse douloureuse commença.
Página 119 - Les deniers qui sont dans notre cassette, ceux qui demeurent entre les mains de nos trésoriers, et ceux que nous laissons dans le commerce de nos peuples, doivent être par nous également ménagés.
Página 414 - Je vous dis que Dieu a pitié de vous, de votre royaume et de votre peuple : car saint Louis et Charlemagne sont à genoux devant lui, en faisant...
Página 98 - Les seigneurs ne nous font que du mal , nous « ne pouvons avoir d'eux raison ni justice ; ils ont «tout, prennent tout, mangent tout, et nous « font vivre en pauvreté et en douleur.
Página 321 - Anglois, et, en effet, si ensemble se fussent mis, « ils eussent été plus puissants que les princes et les « nobles, et pour ce fut enjoint par le roi qu'on ces« sât » , après de vives représentations des seigneurs et des nobles , dit le religieux de Saint-Denis.
Página 215 - Reims au moment que le Roi y est amené. Il est là, comme autrefois aux champs de Mars, puis de Mai, applaudissant nécessairement, mais simplement, à ce qui est résolu et accordé par les deux ordres du clergé et de la noblesse. Dès que le Roi est arrivé et placé, l'archevêque de Reims se tourne vers tout ce qui est placé dans le chœur, pour demander le consentement de la nation. Ce n'est plus, depuis bien des siècles, qu'une cérémonie, mais conservée en tous les sacres, et qui, suivant...