Histoire du réalisme et du naturalisme dans la poésie et dans l'art depuis l'antiquité jusqu'à nos joursQuantin, 1889 - 763 páginas |
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... sais ce que je poursuis . » ( ( ..... Tiens - toi debout devant moi , ô mon ami ! et déploie la grâce de tes regards . » << Ton visage est doré comme le miel . » « A quoi donc , ô mon bien - aimé , te comparer avec justesse ? C'est à ...
... sais ce que je poursuis . » ( ( ..... Tiens - toi debout devant moi , ô mon ami ! et déploie la grâce de tes regards . » << Ton visage est doré comme le miel . » « A quoi donc , ô mon bien - aimé , te comparer avec justesse ? C'est à ...
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... sais pourquoi , un passage de Ménandre où la nature , telle qu'elle se présente dans la vie ordinaire , est décrite avec beaucoup de naïveté et de charme . Ce même vieux mari , conver- sant avec un autre vieillard son voisin , maudit en ...
... sais pourquoi , un passage de Ménandre où la nature , telle qu'elle se présente dans la vie ordinaire , est décrite avec beaucoup de naïveté et de charme . Ce même vieux mari , conver- sant avec un autre vieillard son voisin , maudit en ...
Página 134
... sais quels magistrats , et leur dit en riant « Voici l'homme que vous m'avez envoyé ; il ne possède rien . « qu'une cabane , avec une solide enceinte de pieux . » Les magistrats partaient , en ce moment , pour le théâtre ; j'y allai ...
... sais quels magistrats , et leur dit en riant « Voici l'homme que vous m'avez envoyé ; il ne possède rien . « qu'une cabane , avec une solide enceinte de pieux . » Les magistrats partaient , en ce moment , pour le théâtre ; j'y allai ...
Página 136
... sais plus quel jour , ce beau papa fut dans une boutique pour m'acheter du nitre et du fard : sais - tu ce qu'il m'ap- porta ? Du sel ! ... Homme pyramidal ! GORGO . Dioclide , le mien , n'en fait jamais 136 HISTOIRE DU RÉALISME ET DU ...
... sais plus quel jour , ce beau papa fut dans une boutique pour m'acheter du nitre et du fard : sais - tu ce qu'il m'ap- porta ? Du sel ! ... Homme pyramidal ! GORGO . Dioclide , le mien , n'en fait jamais 136 HISTOIRE DU RÉALISME ET DU ...
Página 144
... sais - tu pas où ta mère met son or ? où ton père sert ses billets ? Main basse sur tout cela , et alors viens me voir ! « Que Philotis est heureuse ! les Grâces ont tourné sur elle leurs plus favorables regards ! Quel amant que son ...
... sais - tu pas où ta mère met son or ? où ton père sert ses billets ? Main basse sur tout cela , et alors viens me voir ! « Que Philotis est heureuse ! les Grâces ont tourné sur elle leurs plus favorables regards ! Quel amant que son ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 718 - MIDI, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ; La terre est assoupie en sa robe de feu.
Página 719 - S'éveille et va mourir à l'horizon poudreux. Non loin, quelques bœufs blancs, couchés parmi les herbes. Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais, Et suivent de leurs yeux languissants et superbes Le songe intérieur qu'ils n'achèvent jamais.
Página 623 - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire : Son fertile domaine est son petit empire : Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau : Ses champs et ses jardins sont autant de provinces ; Et sans porter envie à la pompe des Princes, II est content chez lui de les voir en tableau.
Página 610 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.
Página 615 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté, Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté; Or vivez de venin, sanglante geniture, 130 Je n'ai plus que du sang pour vostre nourriture.
Página 656 - J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux ! Gilbert.
Página 695 - Oh ! lorsqu'un lourd soleil chauffait les grandes dalles Des ponts et de nos quais déserts, Que les cloches hurlaient, que la grêle des balles Sifflait et pleuvait par les airs; Que dans Paris entier, comme la mer qui monte, Le peuple soulevé grondait, Et qu'au lugubre accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait...
Página 656 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 624 - Agréables déserts, séjour de l'innocence, Où loin des vanités, de la magnificence, Commence mon repos et finit mon tourment, Vallons, fleuves, rochers, plaisante solitude, Si vous fûtes témoins de mon inquiétude, Soyez-le désormais de mon contentement!
Página 638 - Qui me donne à l'objet de mon aversion. Te dirai-je encor plus? va, songe à ta défense, Pour forcer mon devoir, pour m'imposer silence ; Et si tu sens pour moi ton cœur encore épris, Sors vainqueur d'un combat dont Chimène est le prix. Adieu : ce mot lâché me fait rougir de honte.