Histoire du réalisme et du naturalisme dans la poésie et dans l'art depuis l'antiquité jusqu'à nos joursQuantin, 1889 - 763 páginas |
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... monde ne doit jouir pour son expression d'une plus grande liberté , car elle embrasse tous les degrés de la réalité à la fiction , de l'imagination à l'idéal . - Ces divers degrés se rattachent à la compréhension plus ou moins large des ...
... monde ne doit jouir pour son expression d'une plus grande liberté , car elle embrasse tous les degrés de la réalité à la fiction , de l'imagination à l'idéal . - Ces divers degrés se rattachent à la compréhension plus ou moins large des ...
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... monde . Le Rig - Véda contient des chants transcendants , mais symbo- liques ; le dogme de l'émanation représente Dieu faisant sortir de lui - même la substance et la forme de l'univers . L'Etre universel est constitué en une sorte de ...
... monde . Le Rig - Véda contient des chants transcendants , mais symbo- liques ; le dogme de l'émanation représente Dieu faisant sortir de lui - même la substance et la forme de l'univers . L'Etre universel est constitué en une sorte de ...
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... chevelure . Par ce che- min , ô Rama , se répandit ce triple Gange , le fleuve divin , heureux , immaculé , qui coule pour purifier le monde . Aussitôt apparurent les Divs , les Rikis et les Gandaivas , les Jacksas ANTIQUITÉ . 7 - L'INDE .
... chevelure . Par ce che- min , ô Rama , se répandit ce triple Gange , le fleuve divin , heureux , immaculé , qui coule pour purifier le monde . Aussitôt apparurent les Divs , les Rikis et les Gandaivas , les Jacksas ANTIQUITÉ . 7 - L'INDE .
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... monde voyait pour la première fois . Le ciel , dépouillé de nuages , ravivé par la clarté des dieux et les reflets éblouissants de leurs parures , semblait rayonner de mille soleils . Ici le fleuve , plus rapide , se précipitait ...
... monde voyait pour la première fois . Le ciel , dépouillé de nuages , ravivé par la clarté des dieux et les reflets éblouissants de leurs parures , semblait rayonner de mille soleils . Ici le fleuve , plus rapide , se précipitait ...
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... monde . Toutefois , comme le drame indien ne peut finir par une catastrophe , un messager vient annoncer que le père de Malati a été sauvé . Une lettre du roi apprend en outre à Madhava qu'il approuve et qu'il permet son ma- riage . Une ...
... monde . Toutefois , comme le drame indien ne peut finir par une catastrophe , un messager vient annoncer que le père de Malati a été sauvé . Une lettre du roi apprend en outre à Madhava qu'il approuve et qu'il permet son ma- riage . Une ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 718 - MIDI, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ; La terre est assoupie en sa robe de feu.
Página 719 - S'éveille et va mourir à l'horizon poudreux. Non loin, quelques bœufs blancs, couchés parmi les herbes. Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais, Et suivent de leurs yeux languissants et superbes Le songe intérieur qu'ils n'achèvent jamais.
Página 623 - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire : Son fertile domaine est son petit empire : Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau : Ses champs et ses jardins sont autant de provinces ; Et sans porter envie à la pompe des Princes, II est content chez lui de les voir en tableau.
Página 610 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.
Página 615 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté, Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté; Or vivez de venin, sanglante geniture, 130 Je n'ai plus que du sang pour vostre nourriture.
Página 656 - J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux ! Gilbert.
Página 695 - Oh ! lorsqu'un lourd soleil chauffait les grandes dalles Des ponts et de nos quais déserts, Que les cloches hurlaient, que la grêle des balles Sifflait et pleuvait par les airs; Que dans Paris entier, comme la mer qui monte, Le peuple soulevé grondait, Et qu'au lugubre accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait...
Página 656 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 624 - Agréables déserts, séjour de l'innocence, Où loin des vanités, de la magnificence, Commence mon repos et finit mon tourment, Vallons, fleuves, rochers, plaisante solitude, Si vous fûtes témoins de mon inquiétude, Soyez-le désormais de mon contentement!
Página 638 - Qui me donne à l'objet de mon aversion. Te dirai-je encor plus? va, songe à ta défense, Pour forcer mon devoir, pour m'imposer silence ; Et si tu sens pour moi ton cœur encore épris, Sors vainqueur d'un combat dont Chimène est le prix. Adieu : ce mot lâché me fait rougir de honte.