Histoire du réalisme et du naturalisme dans la poésie et dans l'art depuis l'antiquité jusqu'à nos joursQuantin, 1889 - 763 páginas |
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... belle œuvre est celle qui , dans son ensemble manifeste soit la fixa- tion d'un caractère , soit l'évolution d'un des aspects de la nature , ou qui marque d'une empreinte indélébile une création profonde du sens intime . La fiction , si ...
... belle œuvre est celle qui , dans son ensemble manifeste soit la fixa- tion d'un caractère , soit l'évolution d'un des aspects de la nature , ou qui marque d'une empreinte indélébile une création profonde du sens intime . La fiction , si ...
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... belle montagne de Tchitrakouta , comme aura fait Indra à la divine Catchi . << Quand je contemple , ô Sita , cette montagne délicieuse , je ne me souviens plus de la perte de mon royaume ; j'oublie que je suis séparé de mes amis . Vois ...
... belle montagne de Tchitrakouta , comme aura fait Indra à la divine Catchi . << Quand je contemple , ô Sita , cette montagne délicieuse , je ne me souviens plus de la perte de mon royaume ; j'oublie que je suis séparé de mes amis . Vois ...
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... belle Ourvaci sur les som- mets de l'Hamacouta ( Pic d'or ) . Le roi , qui chasse dans les âpres mon- tagnes de l'Himalaya , s'élance sur son char et reparaît bientôt por- tant dans ses bras la fille du ciel évanouie . Le chef des ...
... belle Ourvaci sur les som- mets de l'Hamacouta ( Pic d'or ) . Le roi , qui chasse dans les âpres mon- tagnes de l'Himalaya , s'élance sur son char et reparaît bientôt por- tant dans ses bras la fille du ciel évanouie . Le chef des ...
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... belle Malati est la fille du ministre d'État Bhourivassa . Elle a vu le jeune étudiant à travers ses jalousies , et lui , il l'a aperçue comme elle sortait du temple , dont elle semblait la divinité . Un élé- phant magnifique a reçu la ...
... belle Malati est la fille du ministre d'État Bhourivassa . Elle a vu le jeune étudiant à travers ses jalousies , et lui , il l'a aperçue comme elle sortait du temple , dont elle semblait la divinité . Un élé- phant magnifique a reçu la ...
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... belle Malati est une seconde fois enlevée par les prêtres de Dourga , et Madhava ne la retrouvant plus , la croit morte et se couche par terre pour mourir après elle . Mais la magicienne Sodamini ranime ses forces et son courage , et ...
... belle Malati est une seconde fois enlevée par les prêtres de Dourga , et Madhava ne la retrouvant plus , la croit morte et se couche par terre pour mourir après elle . Mais la magicienne Sodamini ranime ses forces et son courage , et ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 718 - MIDI, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ; La terre est assoupie en sa robe de feu.
Página 719 - S'éveille et va mourir à l'horizon poudreux. Non loin, quelques bœufs blancs, couchés parmi les herbes. Bavent avec lenteur sur leurs fanons épais, Et suivent de leurs yeux languissants et superbes Le songe intérieur qu'ils n'achèvent jamais.
Página 623 - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire : Son fertile domaine est son petit empire : Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau : Ses champs et ses jardins sont autant de provinces ; Et sans porter envie à la pompe des Princes, II est content chez lui de les voir en tableau.
Página 610 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.
Página 615 - Puis, aux derniers abois de sa proche ruine, Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté, Le sein qui vous nourrit et qui vous a porté; Or vivez de venin, sanglante geniture, 130 Je n'ai plus que du sang pour vostre nourriture.
Página 656 - J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme, admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux ! Gilbert.
Página 695 - Oh ! lorsqu'un lourd soleil chauffait les grandes dalles Des ponts et de nos quais déserts, Que les cloches hurlaient, que la grêle des balles Sifflait et pleuvait par les airs; Que dans Paris entier, comme la mer qui monte, Le peuple soulevé grondait, Et qu'au lugubre accent des vieux canons de fonte La Marseillaise répondait...
Página 656 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Página 624 - Agréables déserts, séjour de l'innocence, Où loin des vanités, de la magnificence, Commence mon repos et finit mon tourment, Vallons, fleuves, rochers, plaisante solitude, Si vous fûtes témoins de mon inquiétude, Soyez-le désormais de mon contentement!
Página 638 - Qui me donne à l'objet de mon aversion. Te dirai-je encor plus? va, songe à ta défense, Pour forcer mon devoir, pour m'imposer silence ; Et si tu sens pour moi ton cœur encore épris, Sors vainqueur d'un combat dont Chimène est le prix. Adieu : ce mot lâché me fait rougir de honte.