Panégyric du chevalier sans reproche, Louis de La Trémoille1837 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 82
Página vii
... laissa qu'une seule fille , Jeanne de Comines , qui épousa , le 13 août 1504 , René de Bretagne , comte de Penthièvre . Les Mémoires de Comines se partagent en huit livres , et comprennent une partie des règnes de ( 4 ) Sleidan , ubi ...
... laissa qu'une seule fille , Jeanne de Comines , qui épousa , le 13 août 1504 , René de Bretagne , comte de Penthièvre . Les Mémoires de Comines se partagent en huit livres , et comprennent une partie des règnes de ( 4 ) Sleidan , ubi ...
Página 32
... laissa cinq cens Anglois . Il mit sur nuict , il en fût mort plus de quinze mille . Cette les deux costez du village , bien douze cens hom- besogne achevée , et que jà il estoit fort tard , le mes - d'armes , et quant à luy il demeura ...
... laissa cinq cens Anglois . Il mit sur nuict , il en fût mort plus de quinze mille . Cette les deux costez du village , bien douze cens hom- besogne achevée , et que jà il estoit fort tard , le mes - d'armes , et quant à luy il demeura ...
Página 54
... laissa courre . Or vous voyez les choses qui se dres- soient pour courre sus audit duc de Bourgogne , lequel en fut adverty , et mit sus un grand nom- bre de gens , payez à gages mesnagers , ainsi l'ap- peloit - on . C'estoit quelque ...
... laissa courre . Or vous voyez les choses qui se dres- soient pour courre sus audit duc de Bourgogne , lequel en fut adverty , et mit sus un grand nom- bre de gens , payez à gages mesnagers , ainsi l'ap- peloit - on . C'estoit quelque ...
Página 56
... laissa amener à monseigneur de Lescut cent hommes - d'armes bretons au service du Roy . Ainsi concluez que toute cette guerre se faisoit pour contraindre ledit duc à se consentir à ce mariage , et que l'on abusoit le Roy de luy ...
... laissa amener à monseigneur de Lescut cent hommes - d'armes bretons au service du Roy . Ainsi concluez que toute cette guerre se faisoit pour contraindre ledit duc à se consentir à ce mariage , et que l'on abusoit le Roy de luy ...
Página 68
... Jean , baron d'Estissac , au pays d'Aunis , père de Geoffroy Estissac , évêque de Maillezais , l'un des patrons du fameux Rabelais . en emmenèrent chacun un courtaut . Le duc laissa gens GS MÉMOIRES DE PHILIPPE DE COMINES . [ 1471 ]
... Jean , baron d'Estissac , au pays d'Aunis , père de Geoffroy Estissac , évêque de Maillezais , l'un des patrons du fameux Rabelais . en emmenèrent chacun un courtaut . Le duc laissa gens GS MÉMOIRES DE PHILIPPE DE COMINES . [ 1471 ]
Términos y frases comunes
ambassadeurs Anglois artillerie audit audit lieu aultres avecques avoient avoit esté bailler bataille Bellabre bon Chevalier Bourbon Bourguignons Bretagne Calabre capitaine cens ceste ceulx Charles VIII Charolois chascun chasteau choses Comines compaignie comte connestable Contay costé cueur d'icelle demoura dessusdits Dieu disoit dist drent duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Milan duché dudit duc ennemys ensuivant envoya escus estant estoient estoit estre eulx eust faict faisoit filz firent fist frère fust gens de guerre gens-d'armes gneur grant Guyenne homme hommes-d'armes icelle illec incontinent Jehan jour jusques ladicte ledit duc ledit roy ledit seigneur lesdits logis Louis XI Loys maison maistre mesme messire mieulx mille mondit sieur monseigneur moult n'avoit n'estoit n'eust Naples pays Philippe de Comines pouvoit prince qu'ilz quoy roy Charles roy d'Angleterre royaume s'en ala Sainct sçavoir sceu sembloit seroit serviteurs tenoit tousjours toutesfois Trémoille trève vindrent vint vouloit vray
Pasajes populares
Página 103 - Il les avoit seulement envoyez rafraîchir : « mais vous aviez si bon vouloir de retourner, que « six cens pipes de vin, et une pension que le Roy « vous donne, vous ont renvoyé bientost en Angle
Página 167 - Pour tous plaisirs il aimoit la chasse, et les oiseaux en leurs saisons : mais il n'y prenoit point tant de plaisir comme aux chiens. Des dames , il ne s'en est point meslé, tant que j'ay esté avec luy : car à l'heure de mon arrivée, luy mourut un fils nommé Joachim...
Página 16 - ... estat , l'un devant l'autre : et devoient bien estimer les deux princes ceux qui leur tenoient compagnie si bonne à ce besoin : mais ils en firent comme hommes , et non point comme anges. Tel perdit ses offices et estats pour s'en estre fuy , et furent donnez à d'autres qui avoient fuy dix lieues plus loin.
Página 115 - ... qu'autrement, comme vous entendrez; car la douleur qu'il eut de la perte de la première bataille de Granson fut si grande, et luy troubla tant les esprits, qu'il en tomba en grande maladie; et fut telle que sa colère et chaleur naturelle...
Página 100 - ... à eux deux. Après vint le Roy tomber sur le duc de Bretagne, qui estoit ce qui luy avoit fait ouvrir cette parole , et luy en fit semblable demande. Le roy d'Angleterre luy respondit qu'il luy prioit qu'il ne...
Página 26 - JE me suis mis en ce propos par ce que j'ay veu beaucoup de tromperies en ce monde, et de beaucoup de serviteurs envers leurs maistres , et plus souvent tromper les princes et seigneurs orgueilleux, qui peu veulent ouyr parler les gens, que les humbles qui volontiers les escoutent. Et entre tous ceux que j'ay jamais connu, le plus sage pour soy tirer d'un mauvais pas, en temps d'adversité, c'estoit le roy Louis xi ii.
Página 159 - ... en la ville de Tours , ny aux champs , dont il eût suspicion , qu'il ne le feist retirer loin de luy; mais par archers les en faisoit aller et conduire. De nulle matière on ne luy parloit, que des grandes qui luy touchoient. Il sembloit à le voir, mieux homme mort que vif, tant estoit maigre, ne jamais homme ne l'eût creu.
Página 508 - Parquoy, après luy avoir laissé le duché de Berry pour son estat, espousa la royne duchesse de Bretaigne, veufve du feu roy Charles. Si ce fut bien ou mal fait, Dieu est tout seul qui le congnoist. La bonne duchesse de Berry, Jehanne de France, a toute sa vie vescu en saincteté ; et a l'on voulu dire depuis son trespas que Dieu fait des miracles pour l'amour d'elle1.
Página 74 - Normandie autresfois, après qu'il l'eut baillée en partage, comme avez ouy. Le duc de Bourgongne envoyoit souvent devers le roy, pour ces matières. Le roy respondoit que c'estoit le duc de Guyenne, son frère, qui vouloit eslargir ses limites, et qui commençoit toutes ces brigues : et que au partage de son frère ne vouloit point toucher.
Página 69 - Je ne pensoys pas que telle chose advint? Bien devroit rougir un prince, s'il avoit aage, de faire telle excuse, car elle n'a point de lieu. Bel exemple est cestuy-cy pour les princes , qui jamais n'ont doute ny crainte -de leurs ennemis, et le tiendroient à honte : et la pluspart de leurs serviteurs...