Chrestomathie des prosateurs français du quatorzième au seizième siècle, avec une grammaire [&c.] par C. Monnard |
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... voyant , son père commenda ... » Corneille , Molière , Bossuet , Bourdaloue , Pascal , Mme Perier , usaient de même de ce pronom , qui plaisait aussi à Vaugelas . La Bruyère encore a écrit : « Ils sont élevés au centre des meilleures ...
... voyant , son père commenda ... » Corneille , Molière , Bossuet , Bourdaloue , Pascal , Mme Perier , usaient de même de ce pronom , qui plaisait aussi à Vaugelas . La Bruyère encore a écrit : « Ils sont élevés au centre des meilleures ...
Page 115
... Et ( - ) suis parmy ces gens comme un homme sans vert . L'un faict plus qu'il ne peut , et l'autre plus qu'il n'ose . Et ( je ) pense , en les voyant , voir la Métamorphose .... rent chascun l'un l'autre . » Froiss . - « 113.
... Et ( - ) suis parmy ces gens comme un homme sans vert . L'un faict plus qu'il ne peut , et l'autre plus qu'il n'ose . Et ( je ) pense , en les voyant , voir la Métamorphose .... rent chascun l'un l'autre . » Froiss . - « 113.
Page 118
... voyant sa naïfveté , luy persuadèrent que les pecheurs ve- noient la nuit tirer du poil de sa queue pour faire leurs lignes . » Id . — M. Ar- nault le vint voir pendant sa maladie , à qui il fit toutes sortes de protestations d'amitié ...
... voyant sa naïfveté , luy persuadèrent que les pecheurs ve- noient la nuit tirer du poil de sa queue pour faire leurs lignes . » Id . — M. Ar- nault le vint voir pendant sa maladie , à qui il fit toutes sortes de protestations d'amitié ...
Page 127
... voyant que leur superstition com- mençoit à être suivie , ils prindrent la hardiesse de se transporter à Rome . Pasquier . Soudain que je fus dans mon cabinet ; je me mets à prier Dieu . » Marg . de Val . « Le roy mon mary qui s'estoit ...
... voyant que leur superstition com- mençoit à être suivie , ils prindrent la hardiesse de se transporter à Rome . Pasquier . Soudain que je fus dans mon cabinet ; je me mets à prier Dieu . » Marg . de Val . « Le roy mon mary qui s'estoit ...
Page 155
... voyant . » Id . « Ceci ay - je reconnu de mes yeux . Montaigne . ( Chez lui les inversions deviennent rares . ) - " - - - - Substantif ou pronom régime indirect avant le verbe ou le nom qui le régit . De plusieurs et belles avenues il ...
... voyant . » Id . « Ceci ay - je reconnu de mes yeux . Montaigne . ( Chez lui les inversions deviennent rares . ) - " - - - - Substantif ou pronom régime indirect avant le verbe ou le nom qui le régit . De plusieurs et belles avenues il ...
Expressions et termes fréquents
adjectif ains Amyot Anglois appertises apres asseuré auant auec aultres auoir auoit aureilles avoient avoit bataille bestes Bourgongne capitaine celuy ceste ceulx chascun chastel chevaliers chose Comines conj connestable conte Corneille datif demourant deuant deuers dict Dieu dire dist estant esté estoient estoit estonner estre eulx eust faict faisoit feit filz fist François François Ier Froiss Froissart fust Gaulois gens grace Grammaire grant Guillaume du Bellay hault homme i'ay iamais iour iusques j'ay langage langue française langue romane latin ledict Louis XI maistre maniere ment mesme messire mieulx monseigneur Montaigne Montluc mort mots moult n'estoit Pantagruel parler paroles passé peuple poëtes prép Prétérit Prétérit défini prince pron pronom qu'ilz quil quoy Rabelais raison respondit Romains Roquefort sainct seigneur seroit seulement sire subjonctif substantif tousiours tres trouuer verbe vindrent vint vouloit vray XVIe siècle
Fréquemment cités
Page 183 - Qu'il ne luy demande pas seulement compte des mots de sa leçon, mais du sens et de la substance. Et qu'il juge du profit qu'il aura fait, non par le tesmoignage de sa mémoire, mais de sa vie.
Page 179 - Où que vostre vie finisse, elle y est toute. L'utilité « du vivre n'est pas en l'espace ; elle est en l'usage : « tel a vescu long temps, qui a peu vescu. Attendez « vous y pendant que vous y estes : il gist en « vostre volonté, non au nombre des ans, que vous
Page 181 - Que nous sert-il d'avoir la panse pleine de viande, si elle ne se digère? si elle ne se trans-forme en nous? si elle ne nous augmente et fortifie...
Page 116 - Sebond ce tiltre), c'estoit un très-suffisant homme et ayant plusieurs belles parties. ~L,a première reprehension qu'on fait de son ouvrage, c'est que les Chrétiens se font tort de vouloir appuyer leur créance par des raisons humaines, qui ne se conçoit que par foy et par une inspiration particulière de la grâce divine.
Page 6 - Ou qu'il l'estimast si proprement sienne qu'en cette hauteur il ne peust souffrir de la veoir en un autre sans le despit d'une passion envieuse, ou que l'impétuosité naturelle de sa cholere fust incapable d'opposition...
Page 91 - C'est, comme dict Platon, lib. ij de Rep., la beste du monde plus philosophe. Si veu l'avez, vous avez peu noter de quelle dévotion il le guette, de quel soing il le guarde, de quel ferveur il le tient, de quelle prudence il l'entomme, de quelle affection il le brise, et de quelle diligence il le sugce.
Page 187 - C'est icy un livre de bonne foy, lecteur. Il t'advertit dés l'entrée, que je ne m'y suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n'y ay eu nulle considération de ton service, ny de ma gloire. Mes forces ne sont pas capables d'un tel dessein.
Page 175 - ... la peau d'un veau, je ne suis pas homme qui y reculasse. Car il me suffit de passer à mon aise; et le meilleur jeu que je me puisse donner, je le prens, si peu glorieux au reste et exemplaire que vous voudrez, prœtulerim delims inérsque videri, Dum mea délectent mala me, vel denique f allant, Quant sapere et ringi".
Page 169 - Et qui voudra s'amuser à devuyder ce filet, il verra, que non pas les six mille, mais les cent mille, les millions, par ceste corde, se tiennent au Tyran, s'aydant d'icelle comme en Homère Jupiter qui se vante, s'il tire la chaisne, d'amener vers soy tous les dieux.
Page 93 - En leur reigle n'estoit que ceste clause: FAY CE QUE VOULDRAS, parce que gens liberes, bien nez, bien instruictz, conversans en compaignies honnestes, ont par nature un instinct et aguillon qui tousjours les poulse à faictz vertueux et retire de vice, lequel ilz nommoient honneur.