Correspondance de Roger de Rabutin, comte de Bussy avec sa famille et ses amis (1666-1693) Nouvelle éd. revue sur les manuscripts et augmentée d'un très-grand nombre de letters inédites, Volumen 3Charpentier, 1858 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 10
... mort ( 1 ) . J'écris au cardinal de Retz avec autant de reconnois- sance que s'il avoit fait ce que nous souhaitons . Au reste , ma chère cousine , ne soupirez point pour mes malheurs avec notre petite maréchale , ce seroit tout ce que ...
... mort ( 1 ) . J'écris au cardinal de Retz avec autant de reconnois- sance que s'il avoit fait ce que nous souhaitons . Au reste , ma chère cousine , ne soupirez point pour mes malheurs avec notre petite maréchale , ce seroit tout ce que ...
Página 19
... mort , elles viennent au futur par une do- nation que son père et sa mère firent , dans leur contrat de mariage , de ces deux terres à leur fils aîné : elles valent plus de dix mille livres de rente ; une de ses tantes vient de lui ...
... mort , elles viennent au futur par une do- nation que son père et sa mère firent , dans leur contrat de mariage , de ces deux terres à leur fils aîné : elles valent plus de dix mille livres de rente ; une de ses tantes vient de lui ...
Página 23
... mort ; mais chacun se flatte : on ne veut pas trouver des raisons qui empêcheroient de faire une chose agréable . Il est certain que l'amitié est bien plus solide , mais il n'y a que les gens qui ne sont plus pro- pres à l'amour qui en ...
... mort ; mais chacun se flatte : on ne veut pas trouver des raisons qui empêcheroient de faire une chose agréable . Il est certain que l'amitié est bien plus solide , mais il n'y a que les gens qui ne sont plus pro- pres à l'amour qui en ...
Página 26
... mort du pauvre Chésières que je vous écris , madame , c'est encore pour m'en plaindre avec vous ; je l'ai toujours fort aimé , mais le dernier voyage que j'ai fait à Paris , où je passai une journée avec lui , rafraîchit mon amitié , et ...
... mort du pauvre Chésières que je vous écris , madame , c'est encore pour m'en plaindre avec vous ; je l'ai toujours fort aimé , mais le dernier voyage que j'ai fait à Paris , où je passai une journée avec lui , rafraîchit mon amitié , et ...
Página 28
... - ( 1 ) François de Paule de Clermont , marquis de Montglas , grand maître de la garde - robe du roi , était mort le 7 avril 1675 . sément . Voilà comme j'ai fait . Cependant je me 28 CORRESPONDANCE DE BUSSY - RABUTIN .
... - ( 1 ) François de Paule de Clermont , marquis de Montglas , grand maître de la garde - robe du roi , était mort le 7 avril 1675 . sément . Voilà comme j'ai fait . Cependant je me 28 CORRESPONDANCE DE BUSSY - RABUTIN .
Otras ediciones - Ver todo
Términos y frases comunes
affaires aime aise aller amis août armée arrivé assez assure aura avez avoit ayant belle Bussy camp cavalerie cent charge Chaseu chère chose cœur Coligny comte cour cousin Créqui croire crois d'être dame demande dernier Dieu dire donner doute écrire écrit enfin ennemis êtes étoit fais femme fera fille fils fort fortune garde général gens grâces Grignan heures heureux homme j'ai joie jours juger juin l'armée l'autre l'honneur laisse lettre lieu longtemps m'avez m'en madame madame de Scudéry madame de Sévigné mademoiselle Majesté mandé marcher maréchal mariage marquis mars ment mieux mille mois monde monsieur Montespan mort n'ai n'en nouvelles parler passer peine pense père personne place plaisir porte premier présent président prince pris qu'à qu'un raison réponse reste rien s'il sais savez septembre sera seroit services servir seulement sorte souvent supplie très-humbles trouve Turenne venir vérité vient Voilà voyez vrai
Pasajes populares
Página 432 - M. de La Rochefoucauld et Mme de La Fayette ont fait un roman des galanteries de la cour de Henri second, qu'on dit être admirablement bien écrit; ils ne sont pas en âge de faire autre chose ensemble...
Página 116 - Rochefoucault vit fort honnêtement avec madame de la Fayette : il n'y paroît que de l'amitié. Enfin la crainte de Dieu de part et d'autre , et peut-être aussi la politique, a coupé les ailes à l'amour.
Página 112 - Les mutins de Rennes se sont sauvés, il ya long-temps; ainsi les bons pâtiront pour les méchants : mais je trouve tout fort bon...
Página 405 - Le roi leur dit il ya quatre jours : Je suis fâché que vous ne soyez venus à cette dernière campagne , vous auriez vu la guerre , et votre voyage n'eût pas été long. Racine lui répondit : Sire , nous sommes deux bourgeois qui n'avons que des habits de ville , nous en commandâmes de campagne ; mais les places que vous attaquiez furent plus tôt prises que nos habits ne furent faits.
Página 207 - Contre l'affreux dessein d'attenter sur soi-même. Hippolyte la hait presque autant qu'elle l'aime ; Rien ne change son cœur ni son chaste maintien. La nourrice l'accuse : elle s'en punit bien; Thésée a pour son fils une rigueur extrême. Une grosse Aricie...
Página 208 - Jamais il n'y eut rien de si insolent que ce sonnet : deux auteurs reprochent à un officier de la couronne qu'il n'est ni courtisan, ni guerrier, ni chrétien ; que sa sœur, la duchesse de Mazarin, est une coureuse, et qu'il a de l'amour pour elle, quoiqu'il soit Italien. Et bien que ces injures fussent des vérités, elles dévoient attirer mille coups d'étrivière à des gens comme ceux-là...
Página 409 - La réponse de Racine au roi est bonne pour un courtisan, mais elle ne vaut rien pour un historien, et je craindrois bien pour la gloire de notre maître , qu'il ne nous donnât souvent dans son histoire de ces sortes d'exagérations qui ne plaisent jamais qu'aux intéressés , et qu'il ne fût toujours poëte en prose.
Página 388 - Avez-vous jamais vu une étoile si brillante que celle de notre roi? Vous savez bien qu'il a donné deux mille écus de pension à Racine et à Despréaux, en leur commandant de tout quitter pour travailler à son histoire, dont il aura soin de leur donner des mémoires.
Página 310 - Neerwinden et le culbuta. On le releva sans mal ; il se mit à rire. « Voilà de grands sots , dit-il , et un coup de canon perdu! ils ne savaient pas que j'en ai deux autres dans une valise.
Página 110 - Je suis bien fâché que vos promenoirs vous fassent souvenir que vous n'êtes plus jeune , mais je ne veux pas que vous en ayez du chagrin. Vous êtes trop heureuse d'avoir le bon abbé : il fait tout ce qu'il peut pour votre service , qui est de régler vos comptes , car je ne pense pas que vous lui demandiez qu'il fasse de la fausse monnoie pour vous. L'argent est aussi rare en Bourgogne qu'en Bretagne : je cherche partout à troquer du blé et du vin contre du brocart et du velours pour les habits...