Cours de littérature française, Volumen 2Didier, 1862 - 708 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 43
Página 21
... mort de Visconti , son pouvoir se partagea entre ses trois neveux ; Pétrarque garda prés d'eux toute sa faveur , et remplit plusieurs ambassades en leur nom ; mais il ne restait pas attaché uniquement à ces princes : il allait promenant ...
... mort de Visconti , son pouvoir se partagea entre ses trois neveux ; Pétrarque garda prés d'eux toute sa faveur , et remplit plusieurs ambassades en leur nom ; mais il ne restait pas attaché uniquement à ces princes : il allait promenant ...
Página 27
... austère et sublime sur la mort , sur le génie , sur la Divinité . De ces fetes pontificales d'Avignon et de ces douces retraites qui n'entretenaient sa pensée que de la présence ou du souvenir de Laure , il sort AU MOYEN AGE . 27.
... austère et sublime sur la mort , sur le génie , sur la Divinité . De ces fetes pontificales d'Avignon et de ces douces retraites qui n'entretenaient sa pensée que de la présence ou du souvenir de Laure , il sort AU MOYEN AGE . 27.
Página 28
... mort ; il leur emprunte des formes et des images . Mais ce mélange de passion et de pureté , ce désintéressement délicat du cæur , il n'en trouve nulle part le modèle . C'est une alliance de la philosophie de Platon avec les chants des ...
... mort ; il leur emprunte des formes et des images . Mais ce mélange de passion et de pureté , ce désintéressement délicat du cæur , il n'en trouve nulle part le modèle . C'est une alliance de la philosophie de Platon avec les chants des ...
Página 30
... mort arrive sur nous . Vous êtes ici maintenant ; songez au départ ; il faut que l'âme arrive nue et seule à ce terrible passage . Pour franchir cette vallée , qu'il vous plaise de laisser ici la haine et la colère , vents impétueux qui ...
... mort arrive sur nous . Vous êtes ici maintenant ; songez au départ ; il faut que l'âme arrive nue et seule à ce terrible passage . Pour franchir cette vallée , qu'il vous plaise de laisser ici la haine et la colère , vents impétueux qui ...
Página 42
... mort . Aux hommes de condition moyenne et aux artisans , sa souveraineté déplaisait par le mauvais état de la contrée et par le poids insupportable des impôts et des gabelles . Et tandis que les citoyens avaient d'abord espéré que sous ...
... mort . Aux hommes de condition moyenne et aux artisans , sa souveraineté déplaisait par le mauvais état de la contrée et par le poids insupportable des impôts et des gabelles . Et tandis que les citoyens avaient d'abord espéré que sous ...
Otras ediciones - Ver todo
Términos y frases comunes
anglais arrive assez aujourd'hui avaient avons barbare beau belle Boccace c'était caractère célèbre chants Charles chevalier chose chrétiens commence comte conte cour d'abord d'autres Dante demande dernier devant Dieu dire doute écrit époque espagnol esprits États faisait femme filles Florence force forme fort Froissart génie gloire goût Grèce guerre histoire hommes italienne j'ai Jean jeune jour juges l'Espagne l'esprit l'histoire l'Italie laisse langue latin lettres liberté littérature livre Louis main Maures ment Messieurs mieux milieu monde montre mort moyen âge n'était nation naturel nouvelle originale ouvrages pape parler passé pays pensée père Pétrarque peuple poésie poëte poétique populaire porte Portugal pouvait pouvoir premier prince puissant qu'un raison récit récits reste rien romans Rome saint sais savant seigneur semble sentiment serait servir seul siècle sorte souvent style sujet surtout talent terre théâtre traits trouve vérité vieille vieux vive Voilà voyez vrai xive
Pasajes populares
Página 42 - ... parler; et aussi aux anciens hérauts d'armes pour vérifier et justifier les matières. Ainsi ai-je rassemblé la noble et haute histoire; et tant que je vivrai, par la grâce de Dieu , je la continuerai; car plus j'y suis, et plus y labeure, plus me plaît. Car, ainsi comme le gentil chevalier ou écuyer qui aime les armes, en persévérant et continuant, se nourrit et perfectionne; ainsi en labourant et ouvrant, je m'habilite et me délecte.
Página 1 - Rienzi. — Travaux et influence de Pétrarque. — Ses poésies en langue vulgaire. MESSIEURS, Dans nos recherches de littérature étrangère , nous ne devons nous attacher qu'aux noms célèbres et aux esprits originaux , dont l'influence s'est exercée sur l'Europe et sur la France. Nous nous sommes arrêtés devant le génie créateur de Dante.
Página 74 - Vio puertas abiertas e uzos sin cañados, alcándaras vacías sin pielles e sin mantos e sin falcones e sin adtores mudados. Sospiró mió Cid ca mucho avié grandes cuidados. Pabló mió Cid bien e tan mesurado: — ¡Grado a Ti, señor Padre, que estás en alto! Esto me han vuolto míos enemigos malos.
Página 127 - Ses goûts allèrent se fortifiant avec l'âge. Au boire je prens grant plaisir : Aussi fai-je en beaus draps vestir. En viande fresche et nouvelle, Quant à table m'en voy servir, Mon esperit se renouvelle. Violettes en leurs saisons, Et roses blanches et vermeilles Voy...
Página 98 - Cargó copia de camellos De grana, púrpura y sedas, Oro, plata, incienso y mirra, Con otras muchas riquezas, Y con un pariente suyo De los de su casa y mesa Le...
Página 75 - Convidarle yen de grado mas ninguno non osaba: El rey Don Alfonso tanto avie la grand' saña. Antes de la noche en Burgos del entró su carta, Con grand...
Página 269 - ... sans octroy et consentement de ceux qui le doivent payer, sinon par tyrannie ou violence ? on pourroit respondre qu'il ya des saisons qu'il ne faut pas attendre l'assemblée , et que la chose seroit trop longue.
Página 272 - Ledit chambellan voyant que ledit Claret ne luy demandoit que raison, respondit : « Monseigneur le maistre, ce que vous dites est bien raisonnable : mais ce don vient du bon plaisir du roy vostre maistre, et non pas à ma requeste ; s'il vous plaist que je le prenne, vous...
Página 211 - Banny par ses subjects, le plus noble des princes Erre, et proscript en ses propres remparts, De chastels en chastels et de villes en villes, Contrainct de fuyr lieux où debvoit régner; Pendant qu'hommes félons, clercs, et tourbes serviles L'ozent, ô crime!