Et à nostre première rencontre, qui fut par hazard en une grande feste et compagnie de ville, nous nous trouvasmes si prins, si cognus, si obligez entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. Éloge de Montaigne - Page 11de François Antoine Jean Mazure - 1814 - 51 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| François Antoine Jean Mazure - 1805 - 96 pages
...rencontre qui » fut par hazard , en une grande feste , nous nous » trouvasmes si prins,si cognus,si obligez entre » nous , que rien dès-lors ne nous..., ny trois , ny quatre , ny » mille : c'est je ne sçay quelle quintessence de » tout ce meslange , qui ayant saisi toute ma vo» lonté , l'emmena... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 760 pages
...noms. Et à notre » première rencontre , nous nous trouvâmes si pris , si connus , si obli» gés entre nous , que rien dès-lors ne nous fut si proche que l'un à » l'autre Ce n'est pas une spéciale considération , ni deux , ni trois , » ni quatre, ni mille, c'est je ne sais... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 762 pages
...noms. Et à notre » première rencontre , nous nous trouvâmes si pris , si connus , si obli» gés entre nous , que rien dès-lors ne nous fut si proche que l'un à • l'autre Ce n'est pas une spéciale considération , ni deux , ni trois , » ni quatre, ni mille, c'est je ne sais... | |
| Michel de Montaigne - 1829 - 378 pages
...Ciel. Nous nous embrassions par nos noms. A nostre première rencontre nous nous trouvasmes si pris, si cognus, si obligez entre nous, que rien dès-lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. J'ai tiré autrefois usage de nostre esloignement et commodité. Nous remplissions mieux, et estendions... | |
| Henri Fonfrède - 1846 - 396 pages
...hazard, en une grande » feste et compagnie de ville, nous trouvasmes si pris, o si cognus, si obligés entre nous, que rien dès-lors ne » nous fut si proche que l'un à l'autre (1). » Mais je m'arrête, parce qu il faudrait tout citer, et l'espace me manque. Je sais que les... | |
| Jean-Baptiste Biot - 1858 - 478 pages
...nos noms ; et à notre première rencontre, nous nous trouvasmes « si prins, si cogneus, si obligés entre nous que rien dèslors ne « nous fut si proche que l'un à l'autre. » La Boëtie était en effet un homme peu ordinaire, et bien digne d'une pareille estime. On n'en... | |
| Ludovic Legré - 1894 - 446 pages
...lièrent d'une indissoluble amitié. « A nostre première rencontre, auraient-ils pu dire avec Montaigne, nous nous trouvasmes si prins, si cognus, si obligez entre nous, que rien dés lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. » L'un et l'autre, pendant le long espace de... | |
| Émile Faguet - 1912 - 860 pages
...noms; et à nostre première rencontre, qui feut par hazard en une grande feste et compaignie de ville, nous nous trouvasmes si prins, si cognus, si obligez entre nous, que rien dez lors ne nous feut si proche que l'un à l'aultre. Il escrivit une satyre latine excellente, qui... | |
| Margaret W. Ferguson, Maureen Quilligan, Nancy Vickers - 1986 - 464 pages
...moy." ... Et à nostre premiere recontre, qui fut par hazard en une grande feste et compagnie de ville, nous nous trouvasmes si prins, si cognus, si obligez entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre.33 If you press me to tell why I loved him, I feel... | |
| Jules Brody - 1991 - 246 pages
...«allongeail»: Et à nostre première rencontre, qui fut par hazard en une grande feste et compagnie de ville, nous nous trouvasmes si prins, si cognus, si obligez entre nous, que rien dès lors ne nous fut si proche que l'un à l'autre. (188c) Pour Marie de Gournay la fortune joue aussi... | |
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