DU, voluislis) habebo, je ne fay que traîner languissant , et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Éloge de Montaigne - Page 13de François Antoine Jean Mazure - 1814 - 51 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| François Antoine Jean Mazure - 1805 - 96 pages
...que je » le perdy , je ne fais que traisner languissant , et 5) les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy , au lieu » de me consoler , me redoublent...regret de sa » perte. Nous étions à moitié de tout ; il me semble » que je lui dérobe sa part. » 11 avait trente ans lorsqu'il perdit son ami. Son... | |
| Académie de Nîmes - 1807 - 202 pages
...le perdis , je ne fais que traîner » languissant , et les plaisirs même qui s'of» frent à moi , au lieu de me consoler , » me redoublent le regret de sa perte. Nous y étions à moitié de tout ; il étoit mon per» sonnier , mon adjoint en toutes choses ; il me »... | |
| 1812 - 578 pages
...peut exprimer qu'en respondant •: parceque cestoit luy,parceque cestoit moy.... Les plaisirs mesmes au lieu de me consoler me redoublent le regret de sa perte. Nous estions à moitié de tout , ilme semble que je luy desrobe sa part (i) / Privé du confident de ses... | |
| Francois Xavier Joseph Droz - 1815 - 346 pages
...peut exprimer qu'en respondant ; parée que cestoit luy, parceque cestoit moy.... Les plaisirs mesmes, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Nous estions à moitié de tout, Urne semble que je luy desrobe sa part (i)/ Privé du confident de ses... | |
| Michel de Montaigne - 1818 - 438 pages
...vient aux confédémtions, ie ne foys que traisner languissant ; et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous estions à moitié de tout ; il me semble que ie luy desrobe sa part : Wec tas esse ulla me voluptate... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 762 pages
...que je le perdis , je ne fais que traîner languissant , et les plaisirs même qui s' offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte; nous étions à moitié de tout , et il me semble que je lui en dérobe sa part C'est ainsi que le plus philosophe des écrivains a... | |
| Victor Joseph Étienne de Jouy - 1823 - 450 pages
...s'ex« primer qu'en répondant: Parceque c'était lui, «parceque c'était moi Les plaisirs mêmes, au «lieu de me consoler, me redoublent le regret de « sa perte ; nous étions à moitié de tout, il me semble « que je lui dérobe sa part. » Ces quatre lignes contiennent la définition, l'éloge... | |
| Michel de Montaigne - 1823 - 484 pages
...voluistis!) habebo, (i) ie ne foys que traisner languissant ; et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy , au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous estions à moitié de tout ; il me semble que ie luy desrobe sa part : Nee fas esse nllâ me voluptate... | |
| 1824 - 634 pages
...assez heureusement. Montaigne , donnant une larme à la mémoire de la Boétie , sécrie : Les plaisirs me redoublent le regret de sa perte. Nous étions à moitié de tout , il me semble que je lui dérobe sa part. M. SaintProsper dit: «En amitié on ne donne pas, on partage.... | |
| Michel de Montaigne - 1826 - 506 pages
...dî voluistis !) habebo ', ie ne foys que traisner languissant; et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous estions à moitié de tout; il me semble que ie luy desrobe sa part. Nee fas esse ulla me voluptate... | |
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