La Satire en France Au Moyen-âgeHachette, 1893 - 437 páginas |
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... souvent en aide . Si elle ne nous dispensait pas des recherches , elle nous aidait du moins . à les diriger et à les contrôler . Nous n'avons eu qu'un re- gret , celui de connaître trop tard ce XXIII ° volume , rem . pli d'une science ...
... souvent en aide . Si elle ne nous dispensait pas des recherches , elle nous aidait du moins . à les diriger et à les contrôler . Nous n'avons eu qu'un re- gret , celui de connaître trop tard ce XXIII ° volume , rem . pli d'une science ...
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... souvent la dernière ressource et la seule vengeance du faible contre le fort ; qu'elle a com- battu toutes les tyrannies , féodale , cléricale , monarchique et populaire ; enfin qu'à Athènes comme à Paris , elle a plus d'une fois ...
... souvent la dernière ressource et la seule vengeance du faible contre le fort ; qu'elle a com- battu toutes les tyrannies , féodale , cléricale , monarchique et populaire ; enfin qu'à Athènes comme à Paris , elle a plus d'une fois ...
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... souvent ; jeter , au mi- lieu de la lutte des partis et du conflit des ambitions , ses traits piquants , ses allusions malignes , ses aigres censures , et parfois aussi ses éloquents anathèmes , ses généreuses protestations . Notre ...
... souvent ; jeter , au mi- lieu de la lutte des partis et du conflit des ambitions , ses traits piquants , ses allusions malignes , ses aigres censures , et parfois aussi ses éloquents anathèmes , ses généreuses protestations . Notre ...
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... souvent , mais de défiance et de jalousie contre l'am- bition du clergé ; esprit essentiellement moderne , inconnu à Rome et à Athènes , où la religion n'était qu'une dépendance de la politique , et qui a fait triompher chez nous le ...
... souvent , mais de défiance et de jalousie contre l'am- bition du clergé ; esprit essentiellement moderne , inconnu à Rome et à Athènes , où la religion n'était qu'une dépendance de la politique , et qui a fait triompher chez nous le ...
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... souvent à ne point avoir ce dernier allié . L'esprit est de sa nature insou- mis et capricieux ; la force , comme la richesse , impérieuse et exigeante de là des agressions et des représailles . Toute conquête de la liberté est alors ...
... souvent à ne point avoir ce dernier allié . L'esprit est de sa nature insou- mis et capricieux ; la force , comme la richesse , impérieuse et exigeante de là des agressions et des représailles . Toute conquête de la liberté est alors ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 82 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Página 406 - MORT, j'appelle de ta rigueur, Qui m'as ma maistresse ravie, Et n'es pas encore assouvie Se tu ne me tiens en langueur : One puis n'eus force ne vigueur; Mais que te nuysoit elle en vie, Mort?
Página 198 - Attendu que toute créature humaine , qui est formée à l'image de Notre-Seigneur, « doit généralement être franche par droit naturel...
Página 281 - II n'est cité que je préfère à Reims : C'est l'ornement et l'honneur de la France; Car, sans compter l'ampoule (•-) et les bons vins, Charmants objets y sont en abondance. Par ce point-là, je n'entends, quant à moi, Tours ni portaux, mais gentilles galoises (•"•), Ayant trouvé telle de nos Rémoises Friande assez pour la bouche d'un roi.
Página 309 - Loire , transportaient la justice du roi , et le peuple effrayé la laissait passer. Maillard répondit : « Le roi est maître de faire de moi comme de tant d'autres; mais j'irai plus rapidement en paradis par eau , qu'il n'y arrivera avec ses chevaux de poste. » C'était une allusion à l'établissement récent des postes. La réponse est vive ; elle est ingénieuse ; c'est un acte de courage à l'appui d'un acte d'indépendance.
Página 89 - Le voilà, ce poignard qui, du sang de son maître, S'est souillé lâchement; — il en rougit, le traître, que l'on cite dans tous les traités de rhétorique comme un exemple de faux goût (Les Grotesques p.
Página 260 - Les Engloys ont faict desraison Aux compaignons du Vau de Vire Vous n'orrez plus dire chanson A ceulx qui les soulloient bien dire. Nous priron Dieu de bon cueur fin Et la doulce Vierge Marie Qu'il doint aux Engloys mâle fin.
Página 272 - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière, Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
Página 289 - La mort le fait fremir, pallir, Le nez courber, les vaines tendre Le col enfler, la chair mollir, Joinctes et nerfs croistre et estendre.
Página 330 - Bon cueur, bon corps, bonne phyzionomie, Boire matin, fuyr noise et tanson; Dessus le soir, pour l'amour de s'amye Devant son huys la petite chanson ; Trencher du brave et du mauvais garson, Aller de nuyct, sans faire aucun oultrage ; Se retirer, voylà le tripotage.