Qu'est-ce donc que la patrie ? ne serait-ce pas par hasard un bon champ, dont le possesseur, logé commodément dans une maison bien tenue, pourrait dire : « Ce champ que je cultive, cette maison que j'ai bâtie, sont à moi; j'y vis sous la protection... Œuvres de Voltaire - Página 369de Voltaire - 1829 - 72 páginasVista completa - Acerca de este libro
| Voltaire - 1785 - 572 páginas
...pourrait dire : Ce champ que je cultive , cette maifon que j'ai bâtie , font à moi ; j'y vis fous la protection des lois qu'aucun tyran ne peut enfreindre. Quand ceux qui pofsèdent, comme moi, des champs et des maifons s'aflemblent pour leurs intérêts communs , j'aimavoixdans... | |
| Voltaire - 1792 - 362 páginas
..., pourrait dire : Ce champ que je cultive , cette maifon que j'ai bâtie font à moi ; j'y vis fous la protection des lois qu'aucun tyran ne peut enfreindre. Quand ceux qui pofsèdent , comme moi, des champs & des maifons s'affemblent pour leurs intérêts communs , j'ai... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1880 - 970 páginas
...plus de bon sens et d'humanité qu'un teutomane, a écrit quelque part qu'après tout la patrie est un bon champ, dont le possesseur, logé commodément...« Ce champ que je cultive, cette maison que j'ai bâiie sont à moi ; j'y vis sous la protection des lois, qu'aucun tyran ne peut enfreindre. Quand... | |
| Voltaire - 1855 - 220 páginas
...padisha, que nous appelons à Paris le Grand Turc? Qu'est-ce donc que la patrie? Ne serait-ce pas par hasard un bon champ dont le possesseur, logé commodément...que je cultive, cette maison que j'ai bâtie, sont ù moi : j'y vis sous la protection des lois, qu'aucun tyran ne peut enfreindre. Quaad ceux qui possèdent,... | |
| Voltaire - 1857 - 208 páginas
...padischah, que nous appelons à Paris le Grand Turc? Qn'est-ce donc que la pairie? Ne serait-ce pas par hasard un bon champ dont le possesseur, logé commodément...tenue, pourrait dire : « Ce champ que je cultive, celle maison que j'ai bâtie, sont à moi : j'y vis sous la protection des lois, qu'aucun tyran ne... | |
| Voltaire - 1860 - 638 páginas
...padisha, que nous appelons à Paris le Grand-Turc? Qu'est-ce donc que la patrie ? ne serait-ce pas par hasard un bon champ, dont le possesseur, logé commodément...sont à moi; j'y vis sous la protection des lois, qu'àucun tyran ne peut enfreindre? Quand ceux qui possèdent, comme moi, des champs et des maisons,... | |
| 1916 - 640 páginas
...19 fuin 1161. s*f'~ •( VVA # y" /' V 0V TUE UNIVERSITE meurtriers. La patrie pour Voltaire est « un bon champ, dont le possesseur, logé commodément...que je cultive, cette maison que j'ai bâtie sont à moi1. » Ubi bene ibi patria. J.-J. Rousseau professait la maxime contraire et disait : 'Ubi palria,... | |
| 1880 - 982 páginas
...plus de bon sens et d'humanité qu'un teutomane, a écrit quelque part qu'après tout la patrie est un bon champ, dont le possesseur, logé commodément...protection des lois, qu'aucun tyran ne peut enfreindre. Quaud ceux qui possèdent comme moi des champs et des maisons s'assemblent pour leurs intérêts communs,... | |
| 1881 - 972 páginas
...avancé que la patrie est un bon champ, dont le possesseur, logé dans une maison bien ou mal tenue, peut dire : « Ce champ que je cultive, cette maison que...j'ai bâtie sont à moi, j'y vis sous la protection de lois qu'aucun tyran. ne peut enfreindre. Quand ceux qui possèdent comme moi des champs et des maisons... | |
| Joachim-Marie-Jean-Jacques-Alexandre-Jules Ambert - 1871 - 486 páginas
...Qu'est-ce que la Patrie ? se demande Voltaire dans son Dictionnaire philosophique. Ne serait-ce pas par hasard un bon champ, dont le possesseur logé commodément...qu'aucun tyran ne peut enfreindre ; quand ceux qui bâtissent comme moi des champs et des maisons s'assemblent pour leurs intérêts communs, j'ai ma... | |
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