...les avoir regarde'es, Banks dît • qu'il avait • craint d'enlever nne seule idée bo• Unique à un homme qui était allé • les conquérir au péril de sa vie. • Peu de temps après son retour, Labillardière fut admis à l'Institut, Académie des Sciences,...

...renvoyer sans même les avoir regardées : il aurait craint d'enlever, écrivait-il à M. de Jussieu, une seule idée botanique à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. Dix fois des collections adressées au Jardin du Roi, et prises par des vaisseaux anglais, furent recouvrées...

...renvoyer sans même les avoir regardées : il aurait craint d'enlever, écrivait-il à M. de Jussieu, une seule idée botanique à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. Dix fois des collections adressées au Jardin du Roi, et prises par des vaisseaux anglais, furentrecouvréesparlui...

...renvoyer sans même les avoir regardées : il aurait craint d'enlever, écrivait-il à M. de Jussieu, une seule idée botanique à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. Dix fois des collections adressées au Jardin du Roi, et prises par des vaisseaux anglais, furent recouvrées...

...sans les avoir regardées, Banks dit « qu'il avait • craint d'enlever une seule idée bo• tanique à un homme qui était allé • les conquérir au péril de sa vie. » Peu de temps après son retour, Labillardière fut admis à l'Institut, Académie des Sciences,...

...renvoyer sans même les avoir regardées ; il aurait craint d'enlever, écrivait-il à de Jussieu, une seule idée botanique à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. Dix fois des collections adressées au Jardin du Roi, et prises [>ar dei vaisseaux anglais, furent...

...renvoyer sans même les avoir regardées ; il aurait craint d'enlever, écrivait-il à de Jussieu, une seule idée botanique à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. Dix fois des collections adressées au Jardin du Roi, et prises par de» vaisseaux anglais, furent...

...science, que Banks les lui fit rendre sans y loucher, en ajoutant avec délicatesse « qu'il eût craint d'enlever une seule idée botanique à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. » En 1795, Labillardière fut rendu à la liberté et revint en France. Il s'occupa aussitôt de la...

...un regard de curiosité : « J'aurais « craint, dit Banks, d'enlever une seule idée bo« tanique à un homme qui était allé les conquérir « au péril de sa vie. » En quittant Java, Labillardière se rendit à l'île de France; il y séjourna quelque temps et...

...auparavant, craignant, écrivait-il à Antoine-Laurent dç Jussieu, de ravir une seule des idées botaniques à un homme qui était allé les conquérir au péril de sa vie. Il envoya jusqu'au cap de Bonne-Espérance des personnes chargées de racheter et d'apporter des caisses...