Les aventures de Télémaque, fils d'Ulysse;Hovius fils, 1784 - 404 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 41
Página 1
... island , and what paffes there , is only an obftacle that is to be furmounted . In the XIIIth and XIVth books , where Mentor inftructs Ido . Telemachus is not prefent , being at that time in the A S neneus 2 army : perfonnages du poëme ...
... island , and what paffes there , is only an obftacle that is to be furmounted . In the XIIIth and XIVth books , where Mentor inftructs Ido . Telemachus is not prefent , being at that time in the A S neneus 2 army : perfonnages du poëme ...
Página 3
... island , where she discovers herself to him . Having accom- panied him , without his knowing her , through itor- my feas , unknown countries , bloody wars , and all the evils that can try the heart of man , wifdom_ar length conducts him ...
... island , where she discovers herself to him . Having accom- panied him , without his knowing her , through itor- my feas , unknown countries , bloody wars , and all the evils that can try the heart of man , wifdom_ar length conducts him ...
Página 6
... island of Calypfo to his return to Ithaca . Our poet has shewn the mid way between the impetuofity and vehemence with which the Greek poet runs towards his end , and the majestic and even pace of the Latin poet , who fometimes feems to ...
... island of Calypfo to his return to Ithaca . Our poet has shewn the mid way between the impetuofity and vehemence with which the Greek poet runs towards his end , and the majestic and even pace of the Latin poet , who fometimes feems to ...
Página xxiv
... island of Calypfo , is full of this fire . This mixture of light and heat diftinguishes our poet from Homer and Virgil . The enthusiasm of the former fometimes makes him forget art , neglect order and pass the bounds of nature ; the ...
... island of Calypfo , is full of this fire . This mixture of light and heat diftinguishes our poet from Homer and Virgil . The enthusiasm of the former fometimes makes him forget art , neglect order and pass the bounds of nature ; the ...
Página xxxii
... island of the God- defs Calipfo , who was ftill bewailing the departure of Ulyffes . The Goddess gives him a kind reception , con- ceives a passion for him , offers him immortality , and defires of him an account of his adventures . He ...
... island of the God- defs Calipfo , who was ftill bewailing the departure of Ulyffes . The Goddess gives him a kind reception , con- ceives a passion for him , offers him immortality , and defires of him an account of his adventures . He ...
Términos y frases comunes
affez againſt ainfi Athamas auffi autres avoient avoir avoit beauté befoin Betica bien c'eft c'eſt Calypfo caufe cher chofes cœur contre crainte Crete d'autres d'Ulyffe d'une Déeffe defign defire déja deux Dieux elle Enfin ennemis eſt été étoient étoit étrangers être Eucharis fage fageffe faid faire fait fans faut feemed feul fils foit fome font fous fpeak fubjects fuch fuffer gloire Gods grand Grece Grecs guerre héros heureux himſelf hommes Idoménée Idomeneus ifland ifle jamais jeune Joazar Jupiter king l'amour l'ifle loix malheur Mentor Minos moſt n'eft Narbal Neftor Neptune nymphes paffions paix paroles peine pendant pere peuples peut Philoctete Phoenicians plaifirs pleaſure poëme poëte prince Pygmalion qu'à qu'elle qu'il qu'on que les répondit rien Telema Telemachus Télémaque terre thefe themſelves theſe thofe thoſe tous les tout Ulyffes vaiffeau vertu voifins voir whofe yeux
Pasajes populares
Página 64 - Minos, le plus sage et le meilleur de tous les rois, avoit compris. Tout ce que vous verrez de plus merveilleux dans cette île est le fruit de ses lois.
Página 22 - ... des arbres, ou le murmure d'une onde claire qui tombait de quelque rocher, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient Apollon. Ce dieu leur enseignait à remporter le prix de la course et à percer de flèches les daims et les cerfs.
Página 172 - ... l'amitié promise et pour délibérer sur tous les intérêts communs. Tandis que vous serez unis, vous aurez au-dedans de ce beau pays la paix, la gloire et l'abondance; au-dehors vous serez toujours invincibles. Il n'ya que la Discorde, sortie de l'enfer pour tourmenter les hommes, qui puisse troubler la félicité que les dieux vous préparent.
Página 179 - Il faut, disoit-il , avoir soin, pendant la paix , de multiplier le peuple ; mais , de peur que toute la nation ne s'amollisse et ne tombe dans l'ignorance de la guerre, il faut envoyer dans les guerres étrangères la jeune noblesse.
Página 96 - Télémaque ne pouvoit résister à la violence de sa passion , conçut un dessein plein d'adresse pour le délivrer d'un si grand danger.
Página 38 - Je n'y voyais point, comme dans les villes de la Grèce, des hommes oisifs et curieux qui vont chercher des nouvelles dans la place publique, ou regarder les étrangers qui arrivent sur le port.
Página 112 - Je vois bien, répondit Télémaque, que vous êtes Adoam. Je ne fis presque alors que vous entrevoir; mais je vous ai connu par les entretiens de Narbal. O ! quelle joie de pouvoir apprendre par vous des nouvelles d'un homme qui me sera toujours si cher! Est-il toujours à Tyr? ne souffre-t-il point quelque cruel traitement du soupçonneux et barbare Pygmalion? Adoam répondit en l'interrompant : Sachez, Télémaque , que la fortune favorable vous confie à un homme qui prendra toutes sortes de...
Página 61 - C'eft elle qui nous infpire quand nous penfons bien : c'eft elle qui nous reprend quand nous penfons mal. Nous ne tenons pas moins d'elle la raifon que la vie ; elle eft comme un grand Océan de lumiere : nos efprits font comme de petits ruifleaux qui en fortent, & qui y retournent pour s'y perdre.
Página 184 - Ils n'en sentent point les difficultés, et ils ne veulent plus qu'il soit homme, tant ils exigent de perfection de lui. Un roi, quelque bon et sage qu'il soit, est encore homme. Son esprit a des bornes, et sa vertu en a aussi.
Página 40 - Le commerce est comme certaines sources : si vous voulez détourner leur cours, vous les faites tarir. Il n'ya que le profit et la commodité qui attirent les étrangers chez vous ; si vous leur rendez le commerce moins commode et moins utile, ils se retirent insensiblement, et ne reviennent plus, parce que d'autres peuples, profitant de votre imprudence, les attirent chez eux, et les accoutument à se passer de vous.