Les aventures de Télémaque, fils d'Ulysse;Hovius fils, 1784 - 404 páginas |
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... hommes pour les rendre bons : La pre- miere , en leur montrant la difformité du héroïques . vice , & fes fuites funeftes ; c'est le deffein principal de la Tragédie : La feconde , en leur décou- vrant la beauté de la vertu , & fa fin ...
... hommes pour les rendre bons : La pre- miere , en leur montrant la difformité du héroïques . vice , & fes fuites funeftes ; c'est le deffein principal de la Tragédie : La feconde , en leur décou- vrant la beauté de la vertu , & fa fin ...
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... hommes , que les plus vaillans & les plus fages ne peuvent rien fans le fecours des Dieux . Dans notre poëme ... homme ne peut rien . Ce n'eft pas là tout fon art . Le fublime eft d'avoir caché la Déeffe fous une forme humaine . C'eft ...
... hommes , que les plus vaillans & les plus fages ne peuvent rien fans le fecours des Dieux . Dans notre poëme ... homme ne peut rien . Ce n'eft pas là tout fon art . Le fublime eft d'avoir caché la Déeffe fous une forme humaine . C'eft ...
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... hommes , d'oifeaux , nimaux , de reptiles , des diverfes productions de la nature , qui défignoient , comme des emblêmes , les at- tributs divins & les qualités des efprits . Ce ftyle fym- bolique étoit fondé fur une très - ancienne ...
... hommes , d'oifeaux , nimaux , de reptiles , des diverfes productions de la nature , qui défignoient , comme des emblêmes , les at- tributs divins & les qualités des efprits . Ce ftyle fym- bolique étoit fondé fur une très - ancienne ...
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... hommes , & qu'ils paffent avec inconftance d'une paffion à une autre ; ( b ) que tout ce que les Dieux poffedent est éternel , & que tout ce que nous avons paffe & fe détruit ; ( c ) que l'état des ombres , après la mort , eft un état ...
... hommes , & qu'ils paffent avec inconftance d'une paffion à une autre ; ( b ) que tout ce que les Dieux poffedent est éternel , & que tout ce que nous avons paffe & fe détruit ; ( c ) que l'état des ombres , après la mort , eft un état ...
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... hommes & les habitans du monde invisible ; que fans la Divinité , les mortels ne peuvent rien ; ( a ) que la vraie vertu eft une force divine qui defcend du ciel , qui transforme les hommes les plus brutaux , les plus cruels & les plus ...
... hommes & les habitans du monde invisible ; que fans la Divinité , les mortels ne peuvent rien ; ( a ) que la vraie vertu eft une force divine qui defcend du ciel , qui transforme les hommes les plus brutaux , les plus cruels & les plus ...
Términos y frases comunes
affez againſt ainfi Athamas auffi autres avoient avoir avoit beauté befoin Betica bien c'eft c'eſt Calypfo caufe cher chofes cœur contre crainte Crete d'autres d'Ulyffe d'une Déeffe defign defire déja deux Dieux elle Enfin ennemis eſt été étoient étoit étrangers être Eucharis fage fageffe faid faire fait fans faut feemed feul fils foit fome font fous fpeak fubjects fuch fuffer gloire Gods grand Grece Grecs guerre héros heureux himſelf hommes Idoménée Idomeneus ifland ifle jamais jeune Joazar Jupiter king l'amour l'ifle loix malheur Mentor Minos moſt n'eft Narbal Neftor Neptune nymphes paffions paix paroles peine pendant pere peuples peut Philoctete Phoenicians plaifirs pleaſure poëme poëte prince Pygmalion qu'à qu'elle qu'il qu'on que les répondit rien Telema Telemachus Télémaque terre thefe themſelves theſe thofe thoſe tous les tout Ulyffes vaiffeau vertu voifins voir whofe yeux
Pasajes populares
Página 64 - Minos, le plus sage et le meilleur de tous les rois, avoit compris. Tout ce que vous verrez de plus merveilleux dans cette île est le fruit de ses lois.
Página 22 - ... des arbres, ou le murmure d'une onde claire qui tombait de quelque rocher, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient Apollon. Ce dieu leur enseignait à remporter le prix de la course et à percer de flèches les daims et les cerfs.
Página 172 - ... l'amitié promise et pour délibérer sur tous les intérêts communs. Tandis que vous serez unis, vous aurez au-dedans de ce beau pays la paix, la gloire et l'abondance; au-dehors vous serez toujours invincibles. Il n'ya que la Discorde, sortie de l'enfer pour tourmenter les hommes, qui puisse troubler la félicité que les dieux vous préparent.
Página 179 - Il faut, disoit-il , avoir soin, pendant la paix , de multiplier le peuple ; mais , de peur que toute la nation ne s'amollisse et ne tombe dans l'ignorance de la guerre, il faut envoyer dans les guerres étrangères la jeune noblesse.
Página 96 - Télémaque ne pouvoit résister à la violence de sa passion , conçut un dessein plein d'adresse pour le délivrer d'un si grand danger.
Página 38 - Je n'y voyais point, comme dans les villes de la Grèce, des hommes oisifs et curieux qui vont chercher des nouvelles dans la place publique, ou regarder les étrangers qui arrivent sur le port.
Página 112 - Je vois bien, répondit Télémaque, que vous êtes Adoam. Je ne fis presque alors que vous entrevoir; mais je vous ai connu par les entretiens de Narbal. O ! quelle joie de pouvoir apprendre par vous des nouvelles d'un homme qui me sera toujours si cher! Est-il toujours à Tyr? ne souffre-t-il point quelque cruel traitement du soupçonneux et barbare Pygmalion? Adoam répondit en l'interrompant : Sachez, Télémaque , que la fortune favorable vous confie à un homme qui prendra toutes sortes de...
Página 61 - C'eft elle qui nous infpire quand nous penfons bien : c'eft elle qui nous reprend quand nous penfons mal. Nous ne tenons pas moins d'elle la raifon que la vie ; elle eft comme un grand Océan de lumiere : nos efprits font comme de petits ruifleaux qui en fortent, & qui y retournent pour s'y perdre.
Página 184 - Ils n'en sentent point les difficultés, et ils ne veulent plus qu'il soit homme, tant ils exigent de perfection de lui. Un roi, quelque bon et sage qu'il soit, est encore homme. Son esprit a des bornes, et sa vertu en a aussi.
Página 40 - Le commerce est comme certaines sources : si vous voulez détourner leur cours, vous les faites tarir. Il n'ya que le profit et la commodité qui attirent les étrangers chez vous ; si vous leur rendez le commerce moins commode et moins utile, ils se retirent insensiblement, et ne reviennent plus, parce que d'autres peuples, profitant de votre imprudence, les attirent chez eux, et les accoutument à se passer de vous.