Les aventures de Télémaque, fils d'Ulysse;Hovius fils, 1784 - 404 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 52
Página xx
... gloire de la royau té eft de gouverner les hommes pour les rendre bons & heureux ; que l'autorité du prince n'est jamais mieux affermie , que lorfqu'elle eft appuyée fur l'amour des peuples ; & que la véritable richeffe de l'état ...
... gloire de la royau té eft de gouverner les hommes pour les rendre bons & heureux ; que l'autorité du prince n'est jamais mieux affermie , que lorfqu'elle eft appuyée fur l'amour des peuples ; & que la véritable richeffe de l'état ...
Página xxix
... gloire . Cet augufte enfant aimoit les fables & la mythologie ; il falloit profiter de fon goût , lui faire voir , dans ce qu'il eftimoit , le folide & le beau , le fimple & le grand , & lui imprimer , par des faits touchans , les ...
... gloire . Cet augufte enfant aimoit les fables & la mythologie ; il falloit profiter de fon goût , lui faire voir , dans ce qu'il eftimoit , le folide & le beau , le fimple & le grand , & lui imprimer , par des faits touchans , les ...
Página xxxii
... gloire : la gloire n'eft due qu'à un cœur qui fait fouffrir la peine , & fouler aux pieds les plaifirs . Télémaque répondit en foupirant : Que les Dieux me faffent périr , plutôt que de fouffrir que la molleffe & la volupté s'emparent ...
... gloire : la gloire n'eft due qu'à un cœur qui fait fouffrir la peine , & fouler aux pieds les plaifirs . Télémaque répondit en foupirant : Que les Dieux me faffent périr , plutôt que de fouffrir que la molleffe & la volupté s'emparent ...
Página 16
... gloire dans fon royaume il n'aura jamais la joie de m'y voir ; jamais je n'aurai celle de lui obéir pour apprendre à commander . Mou- rons , mon cher Mentor : nulle autre pensée ne nous eft plus permife : mourons , puisque les Dieux n ...
... gloire dans fon royaume il n'aura jamais la joie de m'y voir ; jamais je n'aurai celle de lui obéir pour apprendre à commander . Mou- rons , mon cher Mentor : nulle autre pensée ne nous eft plus permife : mourons , puisque les Dieux n ...
Página 19
... gloire d'Achille eft parvenue jufqu'à nous , & j'admire ce qu'on m'a raconté de la fageffe du malheureux Ulysse . Mon plaifir eft de fecourir la vertu malheureuse . L'officier , auquel le roi envoya l'examen de notre affaire , avoit l ...
... gloire d'Achille eft parvenue jufqu'à nous , & j'admire ce qu'on m'a raconté de la fageffe du malheureux Ulysse . Mon plaifir eft de fecourir la vertu malheureuse . L'officier , auquel le roi envoya l'examen de notre affaire , avoit l ...
Términos y frases comunes
affez againſt ainfi Athamas auffi autres avoient avoir avoit beauté befoin Betica bien c'eft c'eſt Calypfo caufe cher chofes cœur contre crainte Crete d'autres d'Ulyffe d'une Déeffe defign defire déja deux Dieux elle Enfin ennemis eſt été étoient étoit étrangers être Eucharis fage fageffe faid faire fait fans faut feemed feul fils foit fome font fous fpeak fubjects fuch fuffer gloire Gods grand Grece Grecs guerre héros heureux himſelf hommes Idoménée Idomeneus ifland ifle jamais jeune Joazar Jupiter king l'amour l'ifle loix malheur Mentor Minos moſt n'eft Narbal Neftor Neptune nymphes paffions paix paroles peine pendant pere peuples peut Philoctete Phoenicians plaifirs pleaſure poëme poëte prince Pygmalion qu'à qu'elle qu'il qu'on que les répondit rien Telema Telemachus Télémaque terre thefe themſelves theſe thofe thoſe tous les tout Ulyffes vaiffeau vertu voifins voir whofe yeux
Pasajes populares
Página 64 - Minos, le plus sage et le meilleur de tous les rois, avoit compris. Tout ce que vous verrez de plus merveilleux dans cette île est le fruit de ses lois.
Página 22 - ... des arbres, ou le murmure d'une onde claire qui tombait de quelque rocher, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient Apollon. Ce dieu leur enseignait à remporter le prix de la course et à percer de flèches les daims et les cerfs.
Página 172 - ... l'amitié promise et pour délibérer sur tous les intérêts communs. Tandis que vous serez unis, vous aurez au-dedans de ce beau pays la paix, la gloire et l'abondance; au-dehors vous serez toujours invincibles. Il n'ya que la Discorde, sortie de l'enfer pour tourmenter les hommes, qui puisse troubler la félicité que les dieux vous préparent.
Página 179 - Il faut, disoit-il , avoir soin, pendant la paix , de multiplier le peuple ; mais , de peur que toute la nation ne s'amollisse et ne tombe dans l'ignorance de la guerre, il faut envoyer dans les guerres étrangères la jeune noblesse.
Página 96 - Télémaque ne pouvoit résister à la violence de sa passion , conçut un dessein plein d'adresse pour le délivrer d'un si grand danger.
Página 38 - Je n'y voyais point, comme dans les villes de la Grèce, des hommes oisifs et curieux qui vont chercher des nouvelles dans la place publique, ou regarder les étrangers qui arrivent sur le port.
Página 112 - Je vois bien, répondit Télémaque, que vous êtes Adoam. Je ne fis presque alors que vous entrevoir; mais je vous ai connu par les entretiens de Narbal. O ! quelle joie de pouvoir apprendre par vous des nouvelles d'un homme qui me sera toujours si cher! Est-il toujours à Tyr? ne souffre-t-il point quelque cruel traitement du soupçonneux et barbare Pygmalion? Adoam répondit en l'interrompant : Sachez, Télémaque , que la fortune favorable vous confie à un homme qui prendra toutes sortes de...
Página 61 - C'eft elle qui nous infpire quand nous penfons bien : c'eft elle qui nous reprend quand nous penfons mal. Nous ne tenons pas moins d'elle la raifon que la vie ; elle eft comme un grand Océan de lumiere : nos efprits font comme de petits ruifleaux qui en fortent, & qui y retournent pour s'y perdre.
Página 184 - Ils n'en sentent point les difficultés, et ils ne veulent plus qu'il soit homme, tant ils exigent de perfection de lui. Un roi, quelque bon et sage qu'il soit, est encore homme. Son esprit a des bornes, et sa vertu en a aussi.
Página 40 - Le commerce est comme certaines sources : si vous voulez détourner leur cours, vous les faites tarir. Il n'ya que le profit et la commodité qui attirent les étrangers chez vous ; si vous leur rendez le commerce moins commode et moins utile, ils se retirent insensiblement, et ne reviennent plus, parce que d'autres peuples, profitant de votre imprudence, les attirent chez eux, et les accoutument à se passer de vous.