Les aventures de Télémaque, fils d'Ulysse;Hovius fils, 1784 - 404 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página xxxii
... Mentor , dans le lieu le plus fecret & le plus reculé d'une grotte voifine de celle où la Déeffee demeuroit . Les nymphes avoient eu foin d'allumer en ce lieu un grand feu de bois de cédre , dont la bonne odeur fe répandoit de tous ...
... Mentor , dans le lieu le plus fecret & le plus reculé d'une grotte voifine de celle où la Déeffee demeuroit . Les nymphes avoient eu foin d'allumer en ce lieu un grand feu de bois de cédre , dont la bonne odeur fe répandoit de tous ...
Página xxxii
... Mentor to enter into the moft fecret and retired part of a grotto , next to that in which she herself refided . In this apartment the nymphs had taken care to light a great fire of cedar- wood , whofe fragrant odor diffused itself on ...
... Mentor to enter into the moft fecret and retired part of a grotto , next to that in which she herself refided . In this apartment the nymphs had taken care to light a great fire of cedar- wood , whofe fragrant odor diffused itself on ...
Página xxxii
... Mentor m'aima jufqu'à me fuivre dans un voyage téméraire , que j'entreprenois contre fes confeils , & les Dieux permirent que je fiffe une faute , qui devoit fervir à me corriger de ma pré- fomption . Pendant que Télémaque parlolt ...
... Mentor m'aima jufqu'à me fuivre dans un voyage téméraire , que j'entreprenois contre fes confeils , & les Dieux permirent que je fiffe une faute , qui devoit fervir à me corriger de ma pré- fomption . Pendant que Télémaque parlolt ...
Página xxxii
... mentor loved me fo well as to at- tend me in this rash voyage , which I undertook con- trary to his counfel ; and the Gods permitted me to commit a fault , which was to cure ine of my pre- fumption . Whilft Telemachus was fpeaking ...
... mentor loved me fo well as to at- tend me in this rash voyage , which I undertook con- trary to his counfel ; and the Gods permitted me to commit a fault , which was to cure ine of my pre- fumption . Whilft Telemachus was fpeaking ...
Página xxxii
... Mentor demanda tran➡ quillement à parler au roi , & lui dit : O Acefte , fi le malheur du jeune Télémaque , qui n'a jamais porté les armes contre les Troyens , ne peut vous toucher ; du moins que votre propre intérêt vous touche . La ...
... Mentor demanda tran➡ quillement à parler au roi , & lui dit : O Acefte , fi le malheur du jeune Télémaque , qui n'a jamais porté les armes contre les Troyens , ne peut vous toucher ; du moins que votre propre intérêt vous touche . La ...
Términos y frases comunes
affez againſt ainfi Athamas auffi autres avoient avoir avoit beauté befoin Betica bien c'eft c'eſt Calypfo caufe cher chofes cœur contre crainte Crete d'autres d'Ulyffe d'une Déeffe defign defire déja deux Dieux elle Enfin ennemis eſt été étoient étoit étrangers être Eucharis fage fageffe faid faire fait fans faut feemed feul fils foit fome font fous fpeak fubjects fuch fuffer gloire Gods grand Grece Grecs guerre héros heureux himſelf hommes Idoménée Idomeneus ifland ifle jamais jeune Joazar Jupiter king l'amour l'ifle loix malheur Mentor Minos moſt n'eft Narbal Neftor Neptune nymphes paffions paix paroles peine pendant pere peuples peut Philoctete Phoenicians plaifirs pleaſure poëme poëte prince Pygmalion qu'à qu'elle qu'il qu'on que les répondit rien Telema Telemachus Télémaque terre thefe themſelves theſe thofe thoſe tous les tout Ulyffes vaiffeau vertu voifins voir whofe yeux
Pasajes populares
Página 64 - Minos, le plus sage et le meilleur de tous les rois, avoit compris. Tout ce que vous verrez de plus merveilleux dans cette île est le fruit de ses lois.
Página 22 - ... des arbres, ou le murmure d'une onde claire qui tombait de quelque rocher, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient Apollon. Ce dieu leur enseignait à remporter le prix de la course et à percer de flèches les daims et les cerfs.
Página 172 - ... l'amitié promise et pour délibérer sur tous les intérêts communs. Tandis que vous serez unis, vous aurez au-dedans de ce beau pays la paix, la gloire et l'abondance; au-dehors vous serez toujours invincibles. Il n'ya que la Discorde, sortie de l'enfer pour tourmenter les hommes, qui puisse troubler la félicité que les dieux vous préparent.
Página 179 - Il faut, disoit-il , avoir soin, pendant la paix , de multiplier le peuple ; mais , de peur que toute la nation ne s'amollisse et ne tombe dans l'ignorance de la guerre, il faut envoyer dans les guerres étrangères la jeune noblesse.
Página 96 - Télémaque ne pouvoit résister à la violence de sa passion , conçut un dessein plein d'adresse pour le délivrer d'un si grand danger.
Página 38 - Je n'y voyais point, comme dans les villes de la Grèce, des hommes oisifs et curieux qui vont chercher des nouvelles dans la place publique, ou regarder les étrangers qui arrivent sur le port.
Página 112 - Je vois bien, répondit Télémaque, que vous êtes Adoam. Je ne fis presque alors que vous entrevoir; mais je vous ai connu par les entretiens de Narbal. O ! quelle joie de pouvoir apprendre par vous des nouvelles d'un homme qui me sera toujours si cher! Est-il toujours à Tyr? ne souffre-t-il point quelque cruel traitement du soupçonneux et barbare Pygmalion? Adoam répondit en l'interrompant : Sachez, Télémaque , que la fortune favorable vous confie à un homme qui prendra toutes sortes de...
Página 61 - C'eft elle qui nous infpire quand nous penfons bien : c'eft elle qui nous reprend quand nous penfons mal. Nous ne tenons pas moins d'elle la raifon que la vie ; elle eft comme un grand Océan de lumiere : nos efprits font comme de petits ruifleaux qui en fortent, & qui y retournent pour s'y perdre.
Página 184 - Ils n'en sentent point les difficultés, et ils ne veulent plus qu'il soit homme, tant ils exigent de perfection de lui. Un roi, quelque bon et sage qu'il soit, est encore homme. Son esprit a des bornes, et sa vertu en a aussi.
Página 40 - Le commerce est comme certaines sources : si vous voulez détourner leur cours, vous les faites tarir. Il n'ya que le profit et la commodité qui attirent les étrangers chez vous ; si vous leur rendez le commerce moins commode et moins utile, ils se retirent insensiblement, et ne reviennent plus, parce que d'autres peuples, profitant de votre imprudence, les attirent chez eux, et les accoutument à se passer de vous.